Les foulards d’art de Storiart ont particulièrement retenu l’attention des journalistes de Luxe&Dream.tv.
En effet, lors du dernier shooting photo, l’équipe de tournage Luxe&Dream.tv a souhaité vous ouvrir les portes de l’organisation et réaliser l’interview pendant la séance. Choix du lieu et mobilisation de l’équipe; mannequin, photographe, styliste, maquilleuse et assistants ont participé à cette séance filmée.
Le résultat est la : 3 images sur le thème du « Cri » ont ainsi été sélectionnées parmi tous les clichés.
Dans l’interview, Jonathan BUNEL explique le choix de la mise en scène et revient sur sa démarche créatrice aboutissant au lancement du label Storiart : « Adapter des œuvres d’art sur des foulards en soie et en série numérotée ».
Retrouvez ci-dessous le lien de la vidéo :
« Les foulards, c’est la légèreté de la soie, c’est le touché, c’est quelque chose de tes sensuel et très intime.
Le produit de luxe, pour moi, c’est un produit d’exception, qui va avoir beaucoup de références autant intellectuelles que sur la qualité elle-même des matières premières.
Le concept c’est d’adapter des œuvres d’un artiste contemporain, vivant, sur des foulards en soie qui sont numérotés. Donc on a un travail avec l’artiste et on met au point une maquette, une adaptation
qui va être signée de l’artiste et signée de Storiart qui est un label que nous avons vraiment mis au point ; puisque toute notre production est fabriquée en France !
L’idée, c’est quelque chose de très personnel puisque c’est lié à mon parcours. Moi j’étais dans un milieu très scientifique puisque j’ai travaillé dans un centre de recherche pour l’industrie textile et mes parents sont artistes. Alors, je leur ai expliqué que les technologies permettaient de reproduire des œuvres d’art.
A partir de là, on a commencé à réfléchir sur les dimensions de foulards, les qualités de soies et la numérotation produit pour toujours garder un exemplaire quasiment unique.
On a un produit qui est à la frontière entre l’art et la mode donc on ne prend que des artistes qui sont professionnels et qui ont déjà apporté quelque chose au milieu de l’art et qui vont être adaptables par rapport aux tendances de la mode qu’on va ressentir, selon l’évolution et l’air du temps.
Donc il faut qu’il y ait les deux. A ces deux niveaux, on filtre et on a un comité de sélection qui nous dit si on donne suite ou pas a un projet d’un artiste.
Alors la on est sur une séance qu’on appelle une « séance campagne » ou on va mettre en scène le foulard en essayant de donner un renouveau par rapport au foulard traditionnel.
On est sur un gros contraste luxe, dans une mise en scène beaucoup plus artistique et street art. Le street art c’est aussi un style artistique qu’on va adapter sur nos prochains foulards donc c’est aussi pour nous une façon de faire la transition vers des artistes différents des galeries d’art classiques art moderne. »
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